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Les toits s'égouttent. Au sol, se dessinent des ilots qui se relient pour former les taches qui à leur tour forment des archipels. Ces cartes imaginaires sur le sol des océans sont des appels modestes à la rêverie, à imaginer des aventures, des naufrages.


Parfois, on s'arrête, on sort son appareil. La raison en est vague mais forte. On cherche un cadre, une lumière. D'ailleurs, c'est cette atmosphère lumineuse qui fait qu'on s'arrête. Au moment de photographier, on se dit : "Ah oui, ça ressemble à Hopper."




Les compositions deviennent abstraites quand elles perdent leur utilité ou quand on n'en voit pas l'usage. Là, un carré fait de groupes de trois lignes parallèles et perpendiculaires qui se rencontrent, s'interrompent pour se laisser passer autour d'une silhouette d'aveugle.



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